Heavy Bullets

Heavy Bullets est de retour pour le test complet depuis sa sortie. Donc, voyons voir ce qu’il en est maintenant !

Gameplay

Rien de bien nouveau sur ce point. C’est donc armé d’un revolver que vous arpenterez des niveaux aux décors néons. Le but d’une partie est d’aller le plus loin possible, et une mort signifie un retour au point de départ, mais pas d’inquiétude, les levels sont générés aléatoirement, ce qui rehausse un peu la durée de vie.

Sinon, une fois en place, les déplacements se limitent à droite, gauche, en avant, en arrière, ainsi que tirer et recharger. Pour ce qui est des balles, c’est là où ça ce complique, vous ne disposez que d’un chargeur, mais vous pourrez ramasser toutes les cartouches tirées. Ce gameplay est dans l’ensemble bien agencé, et demandera d’être sur le qui vive tout le temps notamment à cause des serpents, la bestiole la plus vicieuse présente dans les niveaux.

Le jeu ne dispose toujours que d’un seul mode de jeu que vous pourrez recommencer jusqu’à être super fort au point d’arriver à bout des 8 niveaux. Bien que cela limite la durée de vie du titre, au vu de son prix, il reste un bon défouloir, et bien rageant.

Graphisme

Pas de nouveauté ici non plus, le jeu présente des graphismes simples, et colorés, avec une palette de couleurs très flashies. Bien que peu élaboré, cela suffit amplement, et permet d’y jouer quelque soit sa config.

Ne vous attendez pas à voir un jeu magnifique, mais plutôt un titre simple et épuré rappelant la mode 8 bits.

Conclusion

La version finale varie peu de la première que nous avons pu tester. Le jeu est bien sûr fluide, et sans bug tout du moins récurent, et propose une expérience très arcade avec un objectif hardcore afin de proposer une difficulté dans l’ensemble plutôt élevée.

Dommage que le titre ne dispose pas de quelques variantes de son mode de jeu principal, cela aurait rehaussé la durée de vie qui s’avère plutôt courte. Effectivement, on préférera faire une partie ou deux vite fait le soir plutôt que de s’acharner sur le titre pour les moins hardcores d’entre nous.

Il reste néanmoins intéressant, et drôle, et par rapport au prix, il représente un bon passe temps dur, et rageant à la suite de morts successives.