0rbitalis
Indépendant, Simulation
Alan Zucconi
Mastertronic
16 avril 2014
Early Access
- Fan de physique par ici !
- Gameplay original.
- Peut faire rencontrer de la difficulté sur certains niveaux, surtout la fin.
- Les autres, vous ne vous amuserez pas...
- Malgré que ça colle à l'ambiance, la musique est répétitve.
- Cinquante missions et c'est tout. Vous pouvez les refaire, mais bon...
Passez votre chemin, commun des mortels, 0rbitalis est un jeu réservé aux matheux et physiciens !
Alan Succoni, développeur indépendant possédant un doctorat en informatique, a décidé de combiner ses deux passions : la physique et le jeu vidéo. Naît alors l’idée d’0rbitalis. L’éditeur anglais Mastertonic édite alors le jeu d’Alan, et il connaît un tel succès qu’0rbitalis à la game jam, Ludum Dare 28 qu’il débarque finalement sur Steam.
Le but du jeu est très simple : vous devez mettre en orbite des sondes pendant un certain temps pour compléter le niveau. Vous devrez pour cela faire attention à la gravité des planètes, étoiles et satellites environnant, le tout dans un cadre très minimaliste. Une planète est un hexagone avec plusieurs cercles concentriques. Le plus petit cercle entourant l’hexagone a une plus grande force de gravité que le cercle le plus grand, évidemment. La trajectoire de votre objet sera déviée en fonction de ces lois de la physique.
Observez, comprenez, et anticiper la trajectoire de chaque astre à vous alentours afin de prévoir la mise en orbite de votre sonde pour qu’elle ne percute aucun autre objet. Cela paraît simple, mais attendez de voir certains niveaux… Newton et Kepler nous ont dictés des lois, faire des calculs en suivant ces formules est simple. Maîtriser la physique des astres est une bien moins mince affaire…
Attirer, repousser, plusieurs en même temps, vous allez vous A-MU-SER !
0rbitalis vous proposera une cinquantaines de missions qui représenteront un nombre incalculables de sondes écrasées au préalable. La musique spatiale colle bien à l’ambiance, mais est un peu lassante sur cinquante niveaux. Un peu comme les scans de planète sur Mass Effect 2 et 3.